1. Grandir dans le regard des autres
Je suis né le dernier d’une fratrie de trois enfants. Ma grande sœur était handicapée mentale, et très tôt, j’ai vu à quel point le regard extérieur peut être lourd, violent, réducteur. On nous jugeait avant même de nous connaître. Enfant, cela m’a mis en colère. Adolescent, cela m’a transformé. Adulte, cela m’a appris une chose fondamentale : rien de ce que nous sommes ne doit être réduit à une étiquette.
C’est pour cela qu’aujourd’hui, je ne crée jamais un site générique. Je cherche toujours l’essence. Ce qui vit sous la surface.
2. Le catéchisme, la chapelle et la première intuition du “plus grand que soi”
J’ai grandi dans une école privée où le mercredi matin était consacré à la prière. Je n’ai jamais rechigné, non pas par docilité, mais parce qu’un sentiment s’imposait déjà à moi : il existe quelque chose de plus grand — et cette présence intérieure nous accompagne. C’est peut-être là que mon intuition a commencé à se développer. À écouter ce qui ne se voit pas. Une compétence qui, aujourd’hui, est au cœur de mon métier.
3. Varsovie : le monde s’ouvre et la musique devient universelle
À douze ans, un exil salvateur : trois ans à Varsovie. Des amis belgo-turcs, allemands, bretons, espagnols, hongrois… Une véritable constellation humaine. C’est là que j’ai compris que :
• ma vie n’était pas le centre du monde,
• la différence est une richesse,
• la musique parle une langue commune.
Et depuis, je perçois les univers de chacun comme des fréquences. Un site web, pour moi, n’est jamais qu’une question de design : C’est une vibration.
4. La scène : apprendre la lumière sans se perdre
Puis il y a eu la scène, les groupes, les concerts, les nuits de répétitions. La musique m’a appris à respirer dans l’intensité. À accepter d’être vu. À ressentir sans fuir. C’est sur scène que j’ai compris ceci :
Créer, c’est se mettre à nu. Et accompagner quelqu’un dans la création de son univers digital, c’est l’aider à se montrer sans se trahir. C’est exactement ce que je fais aujourd’hui avec vous.
5. Les grandes décisions et l’appel intérieur
Après mes études et un premier emploi “safe”, j’ai tout quitté pour la musique. Puis je suis revenu. Puis je suis reparti. Puis je me suis encore transformé. Chaque étape semblait incohérente vue de l’extérieur. De l’intérieur, elles formaient un fil clair : le besoin d’être aligné, pas validé. C’est ce fil que j’écoute aujourd’hui pour vous guider dans vos projets.
6. Le Reiki, les lectures, la spiritualité qui s’incarne
Pendant douze ans, à Paris, j’ai travaillé dans une entreprise logicielle… et j’ai mûri intérieurement.
• Reiki niveau 1.
• Tistrya, Luc Bodin, Roland Legrand…
• Werber, Gounelle, Chopra, Don Miguel Ruiz…
Je me suis forgé une spiritualité libérée de la religion. J’ai compris que : Dieu n’est pas dehors, il est dedans — et chacun porte son propre sanctuaire. Cela influence ma manière de créer : je travaille à partir de la vibration intérieure de l’autre, pas de son discours extérieur.
7. Rencontre, famille, synchronicités
J’ai rencontré ma femme par une synchronicité improbable. Nous avons bâti notre vie sur la foi intérieure, pas sociale. Nos enfants sont nés dans un timing presque “écrit”. Notre déménagement à Vannes s’est déroulé comme si quelqu’un déroulait le tapis. C’est là que j’ai compris : Quand on est sur le bon chemin, l’univers répond.
8. Vannes et la révélation : je suis fait pour accompagner les lumineux
Ici, j’ai découvert une communauté : thérapeutes, énergéticiens, médiums, magnétiseurs, praticiens du bien-être. Des humains discrets, puissants, nécessaires. J’ai senti immédiatement que j’étais des leurs — pas dans la pratique, mais dans la vision. Eux agissent par l’énergie. Moi, je peux agir par la création. Ils accompagnent les âmes. Je peux accompagner leur lumière. Et c’est ainsi qu’est né Cedart Studio.
9. Pourquoi je vous raconte tout ça ?
Parce qu’un site web… ce n’est pas seulement une structure. C’est votre histoire. Votre énergie. Votre mission. Et parce que mon rôle n’est pas seulement de “faire un joli site”. Mon rôle, c’est d’être un traducteur.
Traduire votre vibration en identité.
Traduire votre parcours en univers visuel.
Traduire votre présence en rayonnement.
Conclusion
Si tout mon parcours m’a appris une chose, c’est celle-ci : Nous ne sommes pas faits pour rentrer dans les cases. Nous sommes faits pour nous aligner. Et quand on s’aligne, quand on honore ce que l’on porte vraiment, alors oui : on peut soulever des montagnes.






